Ligne d’information et de soutien sur la vaccination
Le CIUSSS-Centre-Sud a mis en place une ligne d’information et de soutien sur la vaccination. Elle s’adresse à toutes les personnes qui vivent des inquiétudes ou de l’anxiété face à la vaccination. Les intervenant-e-s qui répondent sont des professionnels de la santé dûment formés.
514 362-0005
7 jours sur 7, de 8 h à 20 h
Bon à savoir :
Le vaccin contre la COVID-19 est gratuit.
Il n’est pas nécessaire d’avoir une carte d’assurance maladie pour le recevoir, mais apportez là si vous en avez une.
Depuis le 1er septembre, le passeport vaccinal est exigé pour accéder à certains lieux et de pratiquer certaines activités non essentielles. Le passeport vaccinal contient un code QR qui confirme que vous êtes adéquatement protégé. Cette preuve peut être présentée de 3 façons :
Format papier (preuve vaccinale imprimée)
Format PDF (preuve vaccinale sur un appareil mobile)
Allez au Carrefour d’éducation populaire, 2356 rue du Centre les mercredis et jeudis entre 13h à 16h00. Vous pourrez imprimer votre preuve de vaccination ou installer votre VaxiCode sur votre cellulaire.
Vous pouvez aussi aller à la bibliothèque Saint-Charles au 1050 rue d’Hibernia pour imprimer votre passeport vaccinal.
Bon à savoir:
Afin d’éviter toute fraude potentielle, aucune information personnelle ne vous sera demandée pour que vous puissiez obtenir votre preuve de vaccination électronique.
Une preuve de vaccination en format papier et électronique est également remise après l’administration d’une 2e dose d’un vaccin contre la COVID-19.
Même si une preuve électronique est disponible, il est conseillé de conserver la preuve de vaccination en format papier.
Notre ami et confrère Jean-Guy Dutil est décédé le 21 avril 2021 à l’âge de 89 ans. Ancien forgeron du CN, il a participé à la mobilisation populaire à l’origine de la Clinique: il en a été le premier coordonnateur, le chauffeur du mini-bus, membre du conseil d’administration puis, récemment, participant d’un comité de travail visant à mettre en valeur son histoire. Présent à toutes les assemblées générales, il aura été de tous nos combats. Notre Clinique, il l’a défendue contre vents et réformes. Il l’a racontée à quelques générations d’employé.e.s avec amour, humour et nombre d’anecdotes inoubliables. Sa contribution, inestimable, a été reconnue en 2013 lors de la désignation d’une salle qui porte son nom. Citoyen engagé, il a milité toute sa vie contre la pauvreté et pour la justice sociale. Soucieux de la pérennité des valeurs de solidarité et des acquis du quartier, il était préoccupé par la relève. C’est d’ailleurs ainsi qu’il nommait affectueusement les citoyen.ne.s et travailleur.euse.s engagé.e.s de son quartier. Parmi les projets communautaires qu’il avait à coeur, les Archives populaires, puis la Cité des bâtisseurs, un OBNL d’habitation pour ainé.e.s qu’il a porté avec ses complices de longue date. Il y a habité et a continué à s’y investir comme membre du conseil d’administration. C’est une figure incontournable de notre quartier et un grand homme qui nous quitte. Nous lui devons beaucoup! Nous souhaitons lui rendre hommage en publiant vos témoignages sur cette page de notre site web. N’hésitez pas à nous les faire parvenir à: genevieve.lambertpilotte@ssss.gouv.qc.ca
Nos plus sincères condoléances à ses proches.
Quelques beaux souvenirs
Conseil d’administration et médecins de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles, 1973-1974
Jean-Guy Dutil avec Denis Lazure, ministre des Affaires sociales et Réjean Lacoste, député du Parti Québéçois, 1978 (lutte des Finances de la Clinique communautaire)
Lors du 15e anniversaire de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Jean-Guy Dutil à l’assemblée générale de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles, 2018.
Jean-Guy Dutil avec Jocelyne Bernier en 2013: La Clinique reconnait son apport inestimable en nommant une salle à son nom.
Témoignages
À la mémoire de Jean-Guy Dutil, un modèle sans égal de la solidarité citoyenne de Pointe-Saint-Charles!
Écrire ces mots que tu ne liras pas m’est difficile, cher Jean-Guy. À la simple évocation de ton nom, même après plusieurs semaines, mon écran d’ordi s’est tout embué. Mes pensées et mes souvenirs s’emmêlent et tournent en désordre dans un brouillard tout gris qui a pris place autour de moi. Les émotions sont grandes et les mots bien maladroits je trouve pour tenter de les évoquer. C’est peut-être pourquoi ils ont mis tant de temps à venir chez moi.
Désormais, il nous faut accepter que nous ne te reverrons plus, cher Jean-Guy, et surtout, que nous n’entendrons plus jamais résonner cette voix à la musicalité et au timbre si chaleureux et rassurants. Une voix singulière projetant droit devant des mots de tous les jours, forgés et frappés à l’enclume du vécu et à légitime espérance de justice sociale pour tous. Une voix, qui fera encore longtemps écho, on espère, dans les nombreuses salles de réunions de Pointe-Saint-Charles où nous avons eu le privilège de l’entendre si joliment valser en portant une parole qui, elle, allait invariablement toujours droit au but. Une parole signifiante qui toujours disait et touchait.
Des cascades de mots qui se présentaient parfois à la sortie dans une joyeuse bousculade, mais qu’on savait toujours porteuse d’une profonde et sincère réflexion quand il s’agissait de nous mobiliser contre les inégalités sociales et les injustices. Des interventions bien senties, souvent toutes en pointes ricaneuses et joyeuses, mais témoignant à chaque fois avec éloquence de ton engagement indéfectible envers tes concitoyens, concitoyennes. Autant de variations musicales et d’arabesques flûtées de cet oratorio de solidarité humaine que tu as patiemment composées au fil du temps, d’intervention en intervention, de comités en assemblées, de luttes en mobilisations, cher Jean-Guy. Mises bout à bout, ces innombrables interventions ont fini par former une longue œuvre vocale rassembleuse et inspirante qui raisonnera joyeusement pour encore longtemps dans nos mémoires.
À travers ces nombreuses années, difficile de synthétiser en peu de mots la ligne directrice de ta pensée qui guidait ces interventions pour honorer ta mémoire, mais je résumerais ainsi ce qu’elle était pour moi, cher Jean-Guy:
La lutte pour l’amélioration de nos conditions de vie et de santé doit bien sûr passer par notre solidarité collective, c’est indéniable. Et il faut, cent fois sur le métier, jour après jour, y consacrer temps et énergie pour que celle-ci progresse et s’épanouisse dans les consciences de nos concitoyens et concitoyennes. Mais, il faut aussi ne jamais perdre de vue que pour se développer cette solidarité doit d’abord s’incarner dans la nécessaire et incontournable lutte quotidienne pour l’amélioration des conditions de vie et de santé des moins favorisés d’entre nous. Pas d’amélioration concrète de leur sort, pas d’amélioration du nôtre non plus et ni, par conséquent, de l’ensemble de la société! Pour moi, ce sont les deux pattes indissociables qui faisaient marcher ta pensée et ton action et que je retiendrai de ton inébranlable engagement personnel pour un monde meilleur et plus juste, cher Jean-Guy.
Bien sûr, ce ne sont pas les mots (ni leur ordre de présentation, bien sûr…) que tu aurais choisis pour les présenter, mais j’espère qu’entre ceux-ci, certains y sentiront encore un peu de ton souffle.
Cette pensée, on la savait longuement murie tellement elle s’était frottée à de multiples luttes et expériences humaines de solidarité, dans lesquelles tu t’es toujours impliqué sans compter ni temps, ni énergie. Évidemment, pour ceux et celles qui ont eu la chance de te côtoyer durant plusieurs années, le projet de la Clinique communautaire restera pour moi la plus emblématique d’entre toutes ces belles réussites collectives pour le développement social et communautaire du quartier Pointe-Saint-Charles.
C’est fou combien la population, les organismes de ce quartier et la société québécoise en général, t’en doivent aujourd’hui grandement reconnaissance, cher Jean-Guy!
Il nous faudra donc mettre beaucoup de temps pour nous consoler collectivement de ton inéluctable départ et dresser patiemment ensemble le bilan de ce grand legs d’engagement que tu as laissé au fil de ce riche et unique parcours de solidarité auprès de tes concitoyens et concitoyennes et dans l’âme de ce quartier de la Pointe-Saint-Charles qui t’était si cher.
Pour tout cela et pour la généreuse, joyeuse, droite et belle personne que tu étais Jean-Guy, un simple merci aussi grand et chaleureux que ton cœur et ton engagement l’ont été envers nous!
Pour tes proches et tes enfants dont tu étais si fier, mes plus sincères condoléances.
Solidairement,
Luc Leblanc, employé de la Clinique pendant 24 ans, dont 11 à sa coordination générale.
J’ai le cœur serré. Jean-Guy était un homme au regard humain. Il nous a apporté et appris que défendre avec force nos convictions, nos valeurs de justice dans la solidarité ont permis de développer une mission et une vision communautaire de la Clinique. La Clinique perd un pilier, un bâtisseur, un grand croyant de l’égalité et du respect des différences. Citoyen actif et dévoué, son appartenance au quartier, ce lien vivant donnait un sens a sa vie. Merci Jean-Guy et bon voyage.
France Langelier, infirmière aux services courants xx
Jean Guy était pour moi un modèle d’engagement citoyen et un ami inspirant. Il est un grand bâtisseur qui a marqué l’histoire communautaire du quartier. Il nous laisse en héritage des organismes qui assurent le bien-être de notre collectivité comme la Clinique communautaire et la Cité des bâtisseurs. Toujours impliqué et pertinent, il a mené plusieurs luttes sachant faire face aux vents contraires tout en gardant son humour légendaire. Sa vie témoigne de notre capacité collective de nous organiser pour défendre nos droits et améliorer notre qualité de vie quand on reste solidaires et engagés. Jean-Guy, je n’oublierai pas ce que tu m’as appris. Je souhaite qu’on poursuive le chemin que tu as ouvert et qu’on pourra bientôt te rendre hommage à la hauteur de tes contributions.
Jocelyne Bernier
Jean-Guy was an exceptional individual who truly understood the power of community engagement.
Dr Charles P Larson
Jean-Guy était un bâtisseur, un homme généreux et fidèle, déterminé et patient, avec un réservoir d’humour à toutes épreuves. Ce fut un privilège de travailler avec lui et naviguer les mers parfois houleuses de la Clinique. Une grande perte pour ses proches et pour Pointe Saint Charles. Paix à son âme. Jean-Guy, merci d’avoir été là
Louise Blais (à la Clinique de 1977 à 1981)
J’avais 22 ou 23 ans la première fois que j’ai rencontré Jean-Guy. Tout frais arrivé de la « région » dans la Pointe pour les études, j’ai eu à écrire un travail avec un camarade de classe sur un organisme de mon quartier dans un cours sur les mouvements sociaux à l’UQAM. On a choisi la Clinique, et Jean-Guy nous a reçu chez lui pour nous raconter l’histoire et la vision du projet. Presque 20 ans plus tard, je me souviens encore de la longue discussion politique qu’on a eue avec lui après la fin de l’entrevue. Il avait fini par nous dire: « Des fois je pense que ce que ça prendrait, c’est une révolution. Moi mes pancartes sont toutes prêtes au sous-sol! Allez-y les jeunes, c’est à vous autres de partir ça, moi m’a vous suivre. » Il y avait beaucoup d’amour en Jean-Guy, et toute a force qui lui fallait pour le faire rayonner autour de lui. Il est parti comme il a vécu, tout en douceur, et même s’il a eu une vie longue et bien remplie, dont tout le monde peut être fier, on ne peut que ressentir une grande tristesse à la suite de son départ. Salut Jean-Guy, merci pour tout ce que tu nous as légué; nous tâcherons de bien en prendre soin, afin de pouvoir nous aussi léguer un monde meilleur à la relève.
Pascal Lebrun
C’est toujours une triste nouvelle de voir partir une personne que l’on estime. Jean-Guy respirait la fibre communautaire, ce sentiment d’appartenance à sa communauté de vie, c’est-à-dire aux gens de son quartier.Jean-Guy était aussi un militant, un homme engagé sur un thème universel, la justice sociale pour tous et toutes. Il a conservé ses racines ouvrières et ses anecdotes sont devenues sa façon de raconter l’histoire et de dénoncer l’esprit bourgeois et mesquin de ceux qui nous exploitaient.Et moi, en tant que libertaire militant, je dirais que Jean-Guy vivait à sa manière ce que l’enseignant libertaire Albert Thierry identifiait comme le « refus de parvenir », bref, le refus d’être un parvenu. Formulé au début du XXe siècle dans le courant syndicaliste révolutionnaire, c’était le refus « de vivre et d’agir pour soi aux fins de soi », renoncer à la réussite personnelle pour la lutte collective. C’est une éthique exigeante de vie dont les héros et héroïnes inlassables, d’hier et d’aujourd’hui, sont moins rares et plus déterminés qu’on le pense.Jean-Guy a été ce genre de héros dans son quartier de Pointe-Saint-Charles. Je lui lève mon chapeau.
Marcel Sévigny
Jean-Guy Dutil fut le personnage principal du documentaire long métrage « Le chantier des possibles » qui a documenté l’histoire des luttes sociales dans Pointe-Saint-Charles, la lutte pour l’obtention du bâtiment 7 et la mise en place de la Cité des Bâtisseurs. Ce film sorti en 2016, que j’ai filmé durant de longues années faute de financement, je l’ai réalisé dans le bonheur et l’allégresse principalement à cause de lui. Jean-Guy était tellement à l’image du quartier! Un homme sympathique et chaleureux comme pas un, qui adore faire des blagues et rigoler, et surtout qui croit fermement au pouvoir de l’engagement citoyen.Jean-Guy était un homme de coeur, généreux de sa personne comme pas un, avec un bagage d’implication citoyenne incroyable. Il provient d’une génération de personnes qui oeuvraient chaque jour au service de la communauté de Pointe-Saint-Charles sans compter leur temps, des gens qui avaient plusieurs enfants à leur charge, qui cherchaient à défendre l’intérêt collectif et le droit des plus pauvres à vivre dignement. Il le faisait dans un esprit coopératif et dans une démarche d’éducation populaire constante. Il n’a jamais failli à la tâche et ne s’est jamais essoufflé, même rendu à un âge vénérable, ayant participé activement à la superbe réussite de la Cité des Bâtisseurs, implantée dans le quartier et qui offre des logements abordables gérés par les personnes âgées.Jean-Guy fut pour moi un personnage de film et un personnage tout court. J’adorais son humour, ses convictions et son franc parlé. J’ai aimé filmer cet homme et je suis restée en lien avec lui tellement il était attachant. Lorsqu’on se promenait dans le quartier et devant la Cité des bâtisseurs en chantier, il avait le don de parler aux gens sur la rue et aux inconnus, aux travailleurs et travailleuses envers qui il avait un grand respect. Il aimait les faire rire et c’était un signe d’amour et de solidarité incontestable. Il va me manquer comme il va manquer à nous tous. On ne t’oubliera jamais Jean-Guy ! Dommage que nous ne puissions pas souligner son départ rassemblés en grosse gang, c’était un homme de gang, et il y a tant de gens qui auraient souhaité être là! Je souhaite mes plus sincères condoléances à toutes les personnes qui l’ont aimé, à ses proches et à ses enfants. Aux portes du paradis déjà plein, St-Pierre a préféré laisser passer Jean-Guy, plutôt qu’un certain évêque. Malgré les protestations du Monseigneur, St-Pierre a invoqué que Jean-Guy méritait sa place, puisque lorsque le primat faisait ses sermons tout le monde dormait alors que lorsque Jean-Guy conduisait son minibus tout le monde priait (de toute façon, Jean-Guy a gagné son ciel!)
Ève Lamont Cinéaste, jardinière et utopiste
Même si je n’ai pas connu personnellement M. Dutil, je l’ai vu dans le vidéo de la clinique, lorsque je me préparais à passer mon entrevue d’embauche. C’est un homme inspirant, un citoyen remarquable par son implication pour ses semblables. Toutes mes sympathies à ses proches et sa famille.
Audrey Desbiens, infirmière
Quoi? Jean-Guy décédé? Impossible? Non? Un sourire enjoué, un ton chaleureux et amical, une vraie belle fleur de macadam, très longtemps sur celui de la rue Hibernia, pas mal longtemps sur celui de la rue de la Sucrerie, belle fleur toujours prête à repousser! Forgeron de métier, malgré les lourdeurs de ses tâches, toujours prêt à s’engager, par conviction, spirituelle et sociale, par amitié ou solidarité, dans de petites choses (célèbre parade de la Clinique dans les rues de la Pointe où il rit de bon coeur du comptable qui amena …sa chèvre et la perdit) mais aussi dans de grandes causes comme celle de la défense du caractère unique du contrôle citoyen des cliniques de santé ou de la rénovation des logements.Jean-Guy, un éternel rassembleur, bien heureux des solidarités en cours, reléguant bien des divisions amères au second plan, misant sur les contributions positives de chacun. Offrant ses fleurs de macadam aux ami-e-s comme aux inconnu-e-s : empathie, encore empathie!Bien attaché à nous et nous à lui, au fil de 50 années, notre affection s’entremêle à celle de tous ces réseaux si bien tissés, au coeur de la Pointe, et tout autour.Enveloppé de tant d’amitié et d’amour, tu pars en grande paix. Nous essaierons de suivre et élargir tes traces.
Noëlle Samson et Pierre Pagé
Jean-Guy D. « Est très ouvert à aider les groupes du quartier, comme le Comité des Assistés Sociaux, qui a pu loger dans un local de la Clinique pendant plusieurs années, gratuitement et gracieusement… . Et il le faisait avec bonne humeur et une bonne chaleur humaine… »
Madeleine Desnoyers, ex-permanente du Comité des assistés-sociaux de la Pointe.
I first met Jean-Guy about 45 years ago. I had applied for the job of night shift janitor at the Clinic on Fortune street, and he was president of the Board of Directors at the Clinic. A short time after I left the employ of the Clinic, Jean-Guy became the General Coordinator of the Clinic. We continued over the years to collaborate on various projects. This extended to when I became a lawyer at the Community Legal Services. As he went from President of the Clinic Board to General Coordinator to Bus Driver, I went from Janitor to Director of the Legal Services to President of the Clinic Board. Our paths crossed often as opportunities to collaborate with each other. We also found time to play badminton together in the basement of St Columba house. I have many fond memories of our times together but what will remain with me the most vividly was his sense of humour and constant smile. He didn’t always have a reason to smile, but that was how he always greeted people.He will be missed by many.
Ernest Vaudry
Merci Jean-Guy pour ton travail formidable et de ta générosité d’esprit pendant des décennies
John Bradley, ancien employé de la Clinique communautaire et de GRT Bâtir son quartier
Bonjour Jean-Guy,
Ça m’a pris tout ce temps pour pouvoir te le dire. A ma souvenance, j’ai connu ta famille très jeune. J’allais à l’école avec une de tes filles. De toute façon on s’est côtoyé pratiquement toute ma vie. Avec ton départ, le communautaire tel que nous l’avons connu, perd encore de sa force et son unité! Que de batailles citoyennes nous avons fait. Que d’amour nous avions pour notre quartier et ses citoyens! Toutes ces personnes que nous avons côtoyées dont plusieurs nous ont quitté aussi!
A la clinique ou je travaillais dès 1970 et toi un peu après, nous avons passé de belles années à parler, discuter etc. toi comme membre du c.a. pour ensuite devenir le coordonnateur de la clinique.
Plus tard, à la Cité des Bâtisseurs ou je t’ai côtoyé au c.a. et par la suite en t’y rencontrant car ma mère y a habité.
Merci pour toutes ces belles discussions que nous avons eues.
Le communautaire qui change, nous l’avons si souvent discuté! Nos discussions me permettaient d’y croire encore, malgré tout! Tu me demandais d’y croire encore mais sans nos discussions ce sera plus difficile, je l’avoue.
Je regrette et regretterai encore longtemps ta présence. J’ai repoussé ce moment de te dire ce bonjour car il signifie pour moi, que ton départ est sans retour!
Merci pour tout et plus encore,
MICHELINE CROMP, CITOYENNE DU QUARTIER À QUI TU MANQUES ET MANQUERAS LONGTEMPS
C’est quoi ? Un groupe entièrement gratuit pour aider les gens qui ont de la difficulté à gérer leur anxiété au quotidien. Un lieu d’apprentissages et d’échanges dans une ambiance chaleureuse, dynamique et accueillante ! Les rencontres ont lieu chaque semaine, durant deux heures, pour un total de 8 rencontres. Pour qui ? …
Le jeudi 10 août 2023, hydro-Québec effectuera des travaux dans le secteur de notre installation de l’Avenue Ash. L’électricité sera coupée toute la journée, de 8h à 16h. Toutefois, la Clinique sera ouverte et les services seront assurés normalement. Pour suivre l’état du service d’Hydro-Québec, svp visiter https://infopannes.solutions.hydroquebec.com/notification-lieu-inconnu/saisir-adresse
Nous venons d’apprendre que des travaux de réfection à l’intersection de l’avenue Ash et de la rue Favard auront lieu cet été.
Les travaux débuteront dès le lundi 29 mai et dureront environ deux mois. La circulation sera donc compliquée dans le secteur, autant en voiture qu’à pied, puisque l’intersection de Ash et Favard sera complètement inaccessible dès le 29 mai.
Vous avez une histoire d’horreur qui raconte vos difficultés à recevoir des soins dentaires en raison des coûts exagérés? Participez à notre concours et courez la chance de gagner un de nos nombreux prix!
Dans le cadre de la semaine nationale de la santé mentale, le Comité de lutte en santé de la Clinique vous invite à participer au webinaire santé mentale et travail. Quand : Jeudi le 4 mai, de 12h à 13h; Invité : Simon Coulombe, professeur agrégé et titulaire de la …
À partir du 17 avril, la Clinique aura un nouveau logiciel de dossiers médical pour les usager.ère.s. Toujours confidentiel, il offre de nouvelles possibilités pour nos professionnels mais aussi pour vous! Nos agents administratifs procéderont dorénavant à l’inscription de votre adresse courriel lors de vos rendez-vous. Cela vous permettra de …
Un contexte exceptionnel de pénurie de personnel nous oblige actuellement à réduire certains services offerts par les infirmières de l’accueil. L’objectif est de déplacer certains rendez-vous considérés non-urgents afin d’offrir les services essentiels qui ne peuvent attendre (soins de plaies, injections, etc.). Nous devons donc temporairement mettre sur des listes …
Afin d’enlever la pression sur les urgences pédiatriques, le MSSS a mis en place une ligne Info-Santé pédiatrique pour les enfants n’ont pas de médecin de famille.
La première Journée nationale officielle de la Vérité et de la Réconciliation avec les Premières nations a eu lieu l’an dernier, le 30 septembre 2021. L’établissement de cette Journée nationale était une recommandation de la Commission Vérité et Réconciliation du Canada, dans son rapport déposé en 2015.
Le mardi 20 septembre, la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles et ses huit partenaires tenaient une conférence de presse pour exiger un élargissement de l’accès aux soins buccodentaires. Voici la couverture de presse générée par cette campagne de visibilité: Projet de loi sur les soins dentaires | Des chèques de 650 $, …
Le Comité de lutte en santé de la Clinique a lancé le 20 septembre dernier une campagne pour élargir l’accès aux soins buccodentaires, soins très dispendieux et opaques. Le Comité illustre ses revendications en 12 vignettes de bande dessinée, à lire ci-bas:
Communiqué de presse (français) Press release (English) Mise à jour de la fiche socioéconomique de l’IRIS analysant l’accessibilité et les coûts des soins dentaires au Québec Guide des soins buccodentaires Histoires de dents, histoires d’horreur BD: Pour des soins buccodentaires gratuits et accessibles
Il existe plusieurs microbes qui circulent dans la population à différents moments dans l’année. Certains sont sans conséquences, mais d’autres peuvent être très dangereux pour la santé. Heureusement, la plupart d’entre eux sont largement évitables par une vaccination à jour. La Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles (CCPSC) a un mandat de …
Lorraine Guay, militante acharnée, engagée sur plusieurs fronts, est décédée le 17 juin dernier. Nous tenons à souligner sa contribution majeure au projet de la Clinique communautaire. Elle y a travaillé et investi toute son énergie durant 15 ans, entre 1972 et 1987, comme organisatrice communautaire d’abord, puis comme infirmière. …
Travailleuse sociale à la Clinique depuis 23 ans, Maria Costa porte depuis le 4 juillet le chapeau de spécialiste des activités cliniques (SAC). Créé à la demande du Conseil multi, le tout nouveau poste servira à encadrer et superviser les équipes d’intervention psychosociale, de travail social, de psychoéducation, de psychologie, …
Le conseil d’administration de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles a le plaisir de vous inviter à son assemblée générale annuelle 2021 qui se déroulera cette année en mode VIRTUEL sur la plateforme Zoom!
Quand porter un masque ou un couvre-visage Bien que le port du masque ou du couvre-visage n’est plus obligatoire dans la plupart des lieux publics, le port du masque ou du couvre-visage est recommandé : aux personnes immunodéprimées; aux personnes dont l’état de santé les rend vulnérables; aux personnes en contact étroit …
Le Comité de lutte en santé de la Clinique lance aujourd’hui une campagne pour améliorer l’accès aux soins en santé mentale. Véritable « course à obstacle » pour les personnes qui cherchent à obtenir des soins, le Comité illustre le parcours et ses revendications en 12 vignettes de bande dessinée. …
Les appels à la vaccination 4e dose commencent. La Clinique communautaire est en train d’élaborer ses prochaines cliniques de vaccination qui se tiendront dans des milieux spécifiques du quartier. Les dates précises seront disponibles bientôt. Restez à l’écoute!
C’est avec grand plaisir que nous vous annonçons que Martial Mainguy assumera le poste de coordonnateur général de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles à compter du 21 mars prochain. Martial Mainguy est fort d’une expérience comme directeur général au Centre de pédiatrie sociale Les Petits Renard à Verdun et comme …
Le tableau suivant est un outil qui peut vous aider à évaluer vous-même votre état de santé mentale, afin de prendre des moyens pour aller mieux au besoin.
La Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles profite de cette semaine de la vérité et de la réconciliation ainsi que de l’anniversaire de la mort de Joyce Echaquan, afin d’affirmer haut et fort qu’elle endosse l’appel du Conseil des Atikamekw de Manawan et manifeste son appui indéfectible à la lutte pour l’équité. …